« Le temps s’efface dans la contemplation de ce flou décliné : le brouillard nous entoure et transforme le théâtre en lieu des rêves – ou des cauchemars, allez savoir. Une réussite. »
« Le temps s’efface dans la contemplation de ce flou décliné : le brouillard nous entoure et transforme le théâtre en lieu des rêves – ou des cauchemars, allez savoir. Une réussite. »
» Alice Laloy, s’empare ici de la technique picturale du flou pour plonger le spectateur dans une expérience sensorielle inédite au cœur d’un étrange musée (…) »
« Avec « Sous ma peau/sfu.ma.to. » qu’elle définit comme un « théâtre pictural avec flou artistique », Alice Laloy a conçu un spectacle singulier, atypique et passionnant, de surcroît une réussite absolue, à la croisée des genres et des arts (…) Une pépite à découvrir absolument. »
« Alors Sous ma peau / SFUMATO parlera du flou et du net, de l’enfumé et du vaporeux, de la distance et de la profondeur. »
« …la pièce est proche du rébus et fonctionne selon un principe de « langage flouté » (…) Sorte de fabrique de liens logiques « , Sous ma peau propose des formes qui sont passeurs d’images … »
Provocation, anarchie et poésie au Théâtre Amstramgram. Sur scène les comédiens retrouvent la fougue d’une époque dont Alice Laloy est la digne héritière (…)
CAROLO-MAG-07/17-Comme un avant-goût de la prochaine édition du festival Mondial des Théâtres de marionnette, trois expositions seront installées à Charleville-Mézières dès le mois de juillet…
L’ARDENNAIS-08/07/17-Les murs situés à côté du Metropolis accueillent, jusqu’au 24 septembre, quelques-unes des incroyables photos d’Alice Laloy…
L’UNION-17/07/17- Alice laloy n’est pas un monstre, pourtant elle transforme les enfants en marionnette et ensuite, elle les montre à tout le monde…
LE MONDE | 20.09.2017 – Tous les deux ans, la cité ardennaise accueille pendant dix jours le Festival mondial des théâtres de marionnettes. Les marionnettes ont littéralement envahi les façades des maisons et des bâtiments publics. (…) Alice Laloy et son étonnante exposition «Pinocchio(s) » avec de grands portraits d’enfants transformés en pantins désarticulés…