Pinocchio(live)#2 au Festival d’Avignon

Un billet d’Elisabeth pour le blog Coup2theatre.com – 13 juillet 2021

« Au-delà de la performance visuelle et artistique très aboutie et de l’écriture très poétique, le spectacle d’Alice Laloy questionne habilement le passage de l’enfant objet à l’enfant sujet. »

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Pinocchio(live)#2, puissance et trouble

Un article de Caroline Châtelet pour Sceneweb.fr – 11 juillet 2021

« Alice Laloy signe un spectacle magistral par sa maîtrise et par son trouble fertile. Réunissant des enfants et de jeunes adultes comédiens, cette pièce sans paroles explore l’ambivalence de la métamorphose à travers la figure de Pinocchio. »

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Pinocchio(live)#2, le grand renversement d’Alice Laloy au Festival d’Avignon

Un article d’Amélie Blaustein Niddam pour Toutelaculture.com – 11 juillet 2021

« Ce qui intéresse Alice Laloy n’est pas l’histoire, elle ne pose pas la question du mensonge mais celle de la transformation. Celle qui fait passer d’un état à un autre. Les enfants, tous incroyablement doués et déjà si pros, sont « manipulés » comme s’ils étaient en bois. Cela donne des corps posés sur des tables, les bras pliés en angles, les nuques lâches. C’est étrange, c’est bizarre, c’est fascinant. »

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Pinocchio sous éprouvette

Une critique de Laura Plas pour Les Trois coups – 11 juillet 2021

« Métamorphosant le conte de Collodi en dystopie, Alice Laloy approfondit ses troublantes expérimentations sur la marionnette et brouille les frontières du vivant. Éprouvant, son Pinocchio sous éprouvette offre une expérience inédite qui fait songer à Kantor. »

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Pinocchio (live) ou la danse des enfants-pantins

« la Biennale Internationale des Arts de la Marionnette, portée par le Mouffetard – Théâtre de la marionnette à Paris, a invité Alice Laloy et sa Cie S’Appelle Reviens à présenter pour la première fois la performance Pinocchio (live). La proposition est absolument réussie, et construit, malgré tout, une attente qui se résout dans un final magnifique. Beau, intelligent, fascinant : bienvenue à la frontière trouble où l’enfant et le pantin se confondent ! »

Un article de Mathieu Dochtermann pour Toute la Culture, mai 2019

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